Le travail de Marketing Digital est très populaire parmi les reconvertisseurs. Le domaine est en constante évolution, et les entreprises sont toujours à la recherche d’informations personnelles qualifiées pour les aider à gagner en visibilité et en visibilité sur Internet. Concentrez-vous sur 10 spécialisations clés en marketing de réseau, que vous pouvez exercer dans le cadre d’une reconversion professionnelle.
A l’heure où le e-commerce commence à changer nos habitudes de consommation et où les réseaux sociaux s’installent durablement dans notre usage quotidien, les entreprises d’aujourd’hui sont très conscientes de l’intérêt d’apparaître sur Internet et de développer leur visibilité digitale pour augmenter leur chiffre d’affaires. est réel Oui, les opportunités de recrutement sont également réelles, pour les annonceurs, dans les startups ou les agences digitales. Il ne fait aucun doute que les futurs emplois nécessiteront des compétences numériques très spécifiques. En attendant, voici 10 métiers du marketing digital sur lesquels vous pourrez vous former dès aujourd’hui dans le cadre de votre reconversion dans le domaine du webmarketing.
- Community Manager

C’est l’une des majors du Webmarketing les plus connues, même s’il est parfois difficile d’expliquer son rôle et sa mission à des personnes peu familiarisées avec l’informatique et la navigation sur Internet reste encore un concept abstrait. La fonction d’un community manager est de représenter une marque sur Internet, plus précisément sur les réseaux sociaux (Instagram, Twitter, TikTok, Facebook, LinkedIn, selon où se situe sa cible). Son objectif? Activez et développez la communauté autour de votre entreprise en publiant des contenus attractifs, influents et originaux (et toujours en phase avec l’identité de la marque !). Son comportement contribue à humaniser la marque en établissant une relation de proximité avec les internautes. La définition de la stratégie de contenu et la publication des articles (textes, photos, vidéos) occupent une partie de sa journée de travail, mais il doit aussi : répondre aux différentes demandes des utilisateurs (service après-vente), surveiller la réputation électronique de l’entreprise qui l’utilise et utiliser les outils d’analyse des réseaux sociaux Etudier les résultats de son comportement (taux de participation, partage, conversion).
En termes d’expertise, le community manager est un véritable couteau suisse : montage vidéo, compétences rédactionnelles, maîtrise des outils de programmation de contenus (Hootsuite, Tweetdeck, Buffer), etc. Il est impossible de suspendre les réseaux sociaux et d’empêcher les internautes de commenter jour et nuit : Par conséquent, les community managers doivent être réactifs, disponibles et faire preuve de diplomatie et d’empathie, notamment en gérant des utilisateurs mécontents ou des trolls en ligne. Les formations professionnelles de community manager (à distance ou en présentiel) sont souvent courtes (de 6 mois à 1 an), n’hésitez pas à vous renseigner auprès des organismes de formation pour en savoir plus sur les modalités d’inscription.
2. Responsable E-Commerce

L’objectif d’un responsable e-commerce est simple : développer les ventes des boutiques en ligne, qu’il s’agisse d’un grand site e-commerce ou d’un site marchand plus mesurable. Afin d’atteindre son objectif, le responsable e-commerce utilise divers marketing digital pour obtenir des leviers : les références naturelles (SEO-search Engine Optimization) ou payantes (SEA-search engine advertising), la publicité et les newsletters sur les réseaux sociaux seront nombreuses le marketing en ligne Des outils à exploiter pour gagner du trafic et de la visibilité.
La maîtrise d’outils comme Google Analytics lui permettra d’étudier le comportement des internautes sur son site et de mieux les comprendre : Quels produits ont le plus de succès ? Quelle est la page la moins visitée ? Quelle est la tranche d’âge du plus gros client ? Ces informations lui permettront d’envisager les optimisations nécessaires et de définir de nouvelles stratégies marketing. Un responsable e-commerce a une excellente culture digitale et est un excellent manager, il sait gérer des boutiques en ligne, publier du contenu sur CMS tel que WordPress ou Prestashop, etc., et possède de solides connaissances dans les différentes branches du marketing en ligne.
3. Data Scientist

Experts en big data, le data scientists décryptent les données et les analysent pour aider les entreprises à prendre les bonnes décisions, c’est-à-dire celles qui sont utiles à leur bon développement. Si vous pouvez le trouver dans de nombreux domaines d’activité, le service marketing digital aime particulièrement son expertise. Une grande quantité de données est partagée et stockée chaque jour dans le monde sur Internet. Les professionnels du marketing Internet veulent vraiment savoir les classer, les utiliser et les décrypter pour atteindre leurs objectifs commerciaux et marketing pour la structure qui les sollicite. Le data scientist doit avoir un très bon esprit d’analyse, maîtriser certains langages de programmation (allant de Java, R à SQL) et être évidemment parfaitement à l’aise avec l’outil informatique. De bonnes compétences relationnelles lui permettront de restituer ses résultats et de présenter ses diverses analyses avec clarté et pédagogie.
4. Rédacteur Web

Beaucoup de rédacteurs web se voient qualifiés par leurs proches de journaliste, mais le métier de rédacteur web ou rédactrice web est bien différent ! Si son rôle est aussi d’informer les gens et de vulgariser des connaissances, le rédacteur web a bien souvent un objectif marketing derrière la tête : faire en sorte que son contenu soit mis en avant par les moteurs de recherche, et en particulier Google, qui centralise l’écrasante majorité des requêtes des internautes. Conscient qu’un contenu de qualité participe au bon positionnement d’une page web, le rédacteur web doit se former au référencement naturel (SEO) et apprendre à rédiger aussi bien pour les internautes que pour les robots des moteurs de recherche (appelés aussi « crawlers » ou « spiders »).
C’est en effet bien souvent ces robots qui seront les tous premiers lecteurs des articles rédigés par le rédacteur web et qui devront évaluer la qualité du contenu en s’appuyant sur une multitude de critères que vous pourrez connaître et maîtriser en suivant une formation de rédacteur web. A noter que les formations de rédaction web sont encore rares et que tout reste à écrire dans le domaine. En attendant, il est recommandé de privilégier une formation de plusieurs mois qui accorde au moins autant d’importance à la théorique qu’à la pratique. Des cours de rédaction web d’une journée ou deux pourront toutefois vous faire découvrir les différentes facettes de cette profession que beaucoup exercent en freelance.
5. Content Manager

Proche du métier de community manager, mais aux responsabilités étendues, le content manager a pour rôle de développer l’image de marque d’une entreprise ou d’un produit sur le web et sur les différents médias sociaux. Ce professionnel de la communication digitale se charge d’élaborer une stratégie éditoriale que devront appliquer l’ensemble des créateurs de contenu, du community manager en passant par le rédacteur web ou encore le motion designer. Ses compétences en marketing digital lui permettent d’adapter ses stratégies de communication en fonction de son cœur de cible et de suivre les indicateurs clés de performance (KPI) en vue de rectifier ou d’optimiser certaines actions marketing. A l’image du rédacteur web, le content manager doit avoir de solides compétences rédactionnelles, une bonne culture générale et des connaissances aiguisées en référencement web. D’autres qualités comme le sens de l’organisation, l’esprit d’équipe, et une certaine créativité pour toujours trouver de nouveaux angles originaux seront les bienvenues.
6. Chargé de référencement SEO

La mission du chargé de référencement SEO ? Devenir le meilleur ami de Google, en mettant tout en oeuvre pour que les sites internet dont il s’occupe soient mis en avant par le moteur de recherche américain. L’idéal à ses yeux est d’apparaître dans les trois premiers résultats des moteurs de recherche quand les internautes tapent des mots-clés correspondant à la thématique du site en question. La première position est évidemment la plus convoitée et les concurrents pourront être plus ou moins nombreux selon le secteur d’activité et les mots-clés visés. Pour le référenceur SEO, la curiosité ne sera jamais un vilain défaut et il s’informe régulièrement sur l’actualité du référencement naturel (aussi appelé référencement organique) pour se tenir à jour des changements d’algorithmes qui sont particulièrement fréquents.
Heureusement, les bases du référencement web restent (presque) inchangées au fil des années et les trois principaux critères qui ont vraiment un impact sur le positionnement des pages web restent toujours les mêmes, à savoir : le contenu (la rédaction web), la technique (le code du site internet), et la popularité (la quantité et la qualité des liens entrants sur le site). Au quotidien, le référenceur SEO audite les sites web et identifie des axes d’optimisation possibles pour améliorer sa visibilité et sa notoriété en vue de générer davantage de trafic. En fonction des recommandations fournies par ses soins, d’autres métiers du web pourront prendre la relève pour améliorer le référencement des pages web auditées : rédacteurs web, webdesigners, développeurs web ou encore consultants SEA.
7. Consultant SEA (Search Engine Advertising)

Le SEA est communément appelé référencement payant dans un souci de simplicité et pour l’opposer au référencement naturel souvent présenté comme un levier gratuit (malgré le temps et l’investissement que demande une bonne optimisation SEO). Cette discipline consiste à créer des campagnes de publicité (liens sponsorisés) sur les moteurs de recherche afin d’apparaître en tête des résultats lorsque les internautes lanceront une requête sur les mots clés visés. Chaque moteur de recherche dispose de son propre service de création de campagne publicitaire ( ex : Google Ads). Grâce à l’aide d’outils en ligne, qui permettent de donner à voir les requêtes les plus populaires des internautes, le consultant SEA identifie et achète les mots-clés jugés comme les plus rentables en fonction de la concurrence. Une fois les annonces en ligne, il pourra évaluer leur efficacité dans le temps et entreprendre des actions d’optimisation si certaines campagnes n’obtiennent pas les résultats escomptés. Le référenceur SEO et le référenceur SEA exercent donc deux métiers distincts mais parfaitement complémentaires pour optimiser la visibilité digitale. Le consultant SEA doit, entre autres, avoir de bonnes compétences rédactionnelles, un bon esprit d’analyse et être pédagogue que cela avec ses clients ou ses collègues de travail pas toujours au fait des tenants et des aboutissants du SEA. Comme le référenceur SEO, le chargé SEA peut exercer en freelance et fixer ses propres tarifs.
8. Webdesigner

Son rapport avec le marketing digital est moins évident, pourtant le webdesigner contribue à son échelle à acquérir de nouveaux clients et fidéliser la clientèle sur internet. Dans un monde où l’image domine (encore plus sur la toile), un visuel attractif est bien souvent plus parlant qu’un long texte. Le webdesigner est la personne en charge de concevoir la maquette d’un site internet. Il doit créer une identité visuelle et une charte graphique qui correspond aux valeurs et aux messages que souhaitent faire passer une entreprise. Surtout, il doit faire en sorte de livrer un site parfaitement ergonomique capable de s’adapter aux différents supports de navigation (responsive design) et de favoriser au maximum l’expérience utilisateur des internautes.
Créer une interface et poser un univers qui donne envie à l’internaute envie de revenir sur son site, voilà le grand défi du webdesign qui devra aussi prendre en compte les besoins des clients et les différentes contraintes techniques. Le webdesigner peut aussi réaliser toutes sortes de visuels et supports de communication destinés à apparaître sur les réseaux sociaux ou sur le site web de la société qui l’emploie. Ses points forts sont notamment la maîtrise des logiciels de DAO (Photoshop et Illustrator en tête), sa créativité et son sens artistique. A cela vient s’ajouter des connaissances de base en HTML et CSS, une capacité à travailler au sein d’une équipe pluridisciplinaire et une curiosité vis-à-vis des dernières tendances en design web.
9. Social Media Manager

Le social media manager pilote la stratégie de communication digitale d’une entreprise sur les réseaux sociaux. C’est généralement un community manager qui appliquera la stratégie éditoriale décidée par ses soins. Il peut également participer à la production de contenus ou encore solliciter une agence de communication afin de redéfinir son image de marque. Ses tâches vont de la surveillance de la e-réputation, à la gestion des influenceurs en passant par la création de rapports analytics. Le poste de social media manager nécessite au minimum les mêmes aptitudes qu’un community manager mais sa fonction requiert d’excellentes compétences analytiques et relationnelles ainsi qu’un intérêt prononcé pour le management. Le digital étant un domaine en perpétuelle évolution (et l’arrivée régulière de nouveaux médias sociaux), le social media manager doit pratiquer une veille constante afin d’être toujours au fait des dernières tendances du web.
10. Webmarketeur

Le rôle du webmarketer est d’augmenter la notoriété, le trafic et les ventes de produits ou de services d’un site internet. Cette fonction lui demande de connaître sur le bout des doigts les principaux leviers d’acquisition et d’être doté de compétences équivalentes aux principaux métiers du marketing digital : responsable e-commerce, référenceur SEO, consultant SEA, community manager, etc. Autant de postes avec qui il sera amené à échanger régulièrement. Véritable chef d’orchestre d’une stratégie marketing, le webmarketer est sur tous les fronts même s’il est aussi là pour déléguer certaines tâches représentant un cœur de métier. Ses missions peuvent différer selon les entreprises mais il peut, entre autres, créer des campagnes d’e-mailing, analyser le trafic de son site web en vue d’une optimisation SEO ou encore promouvoir son site via l’achat d’espaces médiatiques. Le webmarketer dispose de qualités managériales, d’une solide culture digitale et d’une bonne dose de créativité afin de trouver de nouveaux moyens de gagner en visibilité sur le web. Enfin, internet a aboli les frontières et la maîtrise de l’anglais peut être incontournable pour se reconvertir en tant que webmarketer.
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