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Le métier est ultra féminisée : on compte moins d’1% d’hommes esthéticiens. On emploie donc le terme « d’esthéticienne » plutôt que d’esthéticien H/F.

Qu’elle soit salariée, gérante ou indépendante, l’esthéticienne peut exercer au sein d’un institut de beauté, d’un spa, d’un salon de coiffure ou tout autre établissement de soin. Elle peut aussi se rendre directement au domicile de sa clientèle.

Les techniques de soins traditionnels n’ont plus de secrets pour elle. L’esthéticienne maîtrise parfaitement gommages, soins capillaires, épilations, massages relaxants,… Cependant, l’esthéticienne est aussi portée sur l’innovation (balnéo-esthétique, ionophorèse, lumière pulsée).

Une partie non négligeable de ses missions concernent aussi la vente de produits cosmétiques, ou des conseils concernant l’utilisation de ces derniers.

L’esthéticienne se doit d’être à l’écoute de sa clientèle, principalement féminine, et posséder de nombreuses qualités : patience, pédagogie, discrétion…

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Etudes et formations

Même si l’accès à la profession est possible dès le niveau CAP, il existe des formations diplômantes jusqu’au niveau Bac +2 :

• Le CAP esthétique.
• Le brevet professionnel esthétique-cosmétique-parfumerie.
• le Bac Pro esthétique.
• Le BTS esthétique – cosmétique – parfumerie.

Il existe plusieurs façons d’obtenir ces diplômes : la formation initiale, les cours à distance, la formation en alternance, la formation professionnelle continue et la validation des acquis de l’expérience (VAE).

La spécialisation est très importante. De nombreux centres proposent des formations supplémentaires pour travailler dans les spa ou bien encore auprès d’une clientèle âgée, mais aussi pour acquérir de nouvelles compétences en coiffure, en prothésie ongulaire, maquillage, etc.

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